Traduction de l'article en anglais
Plus de 40 intervenants de différents pays et de différentes spécialités, un accès facile, adaptable et abordable. Le congrès IFFD Love Talks profite cette année du meilleur de la numérisation et propose une série de conférences de 10 à 20 minutes dans lesquelles sont abordés des sujets tels que l'infidélité, la pornographie, les dialogues sur la sexualité avec les adolescents ou le fait de tomber amoureux.
Un congrès totalement adaptable. C'est ainsi que l'on pourrait définir les Entretiens amoureux sur la sexualité et l'affectivité. Il s'agit du congrès numérique promu par la Fédération internationale pour le développement de la famille (IFFD), une ONG indépendante à but non lucratif dont la mission première est de soutenir les familles par la formation et qui est présente dans plus de 70 pays.
Après les expériences de ses congrès en face à face organisés dans des capitales telles que New York, Rome, Valence et Londres, l'arrivée de la pandémie et les possibilités de la numérisation ont conduit l'organisation à lancer une forme de congrès beaucoup plus large et plus accessible. Ainsi, l'accès à une formation de haut niveau est rendu accessible à des milliers de personnes dans le monde, comme le souligne le directeur de l'IFFD à Omnes, Leticia Rodríguez.
À l'IFFD, nous avons développé des programmes de formation basés sur la méthode des cas", explique Leticia Rodríguez, "mais nous avons constaté que de nombreuses personnes demandaient d'autres types de dynamiques, qui leur donnent des indices et leur montrent la beauté de la famille.
En fait, l'IFFD lui-même a ouvert ses lignes de formation, ce qui se reflète également dans ce congrès, qui s'adresse à tout type de personnes "de 18 à 98 ans", plaisante Rodríguez.
Le fait est que, parmi les thèmes Les différents experts parleront des intérêts des jeunes professionnels, des célibataires, des couples, des couples mariés avec quelques ou plusieurs années de relation derrière eux, des pères et mères avec des enfants de tous âges et aussi des grands-parents, des éducateurs ou formateurs... etc.
Pourquoi la sexualité et l'affectivité ?
"Il y a beaucoup d'inquiétude à ce sujet de la part des parents, des proches et même des jeunes eux-mêmes", affirme Leticia Rodríguez. En outre, "nous avons constaté que beaucoup de formations dans ce domaine étaient étroitement liées à la sphère religieuse, ce qui est très bien et très nécessaire, mais il faut aller plus loin. Lors du congrès, nous avons souhaité que les intervenants ne basent pas leur discours sur un thème religieux, c'est pourquoi la liste est très large, tant en termes de nombre que de spécialités".
Les sujets à suivre dans 6 mois
Le congrès est véritablement "atypique" dans son développement.
Les conférences, enregistrées, seront disponibles "deux jours à partir du 4 juin pour ceux qui s'inscrivent avec le modèle standard et 6 mois pour ceux qui le font avec le modèle prime", déclare le directeur de l'IFFD.
Ainsi, si quelqu'un n'est intéressé que par quelques conférences, il peut les regarder en 48 heures, tandis que pour un peu plus, certains peuvent les étaler sur six mois pour y penser ou les écouter à voix haute, d'ici décembre.
Parmi les intervenants, on trouve des noms tels que la médecin nord-américaine Meg Meeker, Carolina Sánchez Agostini, directrice des études d'éducation sexuelle intégrale à l'université Austral, Emerson Eggerich et les Espagnols Carlos Chiclana et Marian Rojas. En effet, comme le souligne Leticia Rodríguez, "trois comités ont été créés pour sélectionner les intervenants, un d'Espagne, un de LATAM et un du reste du monde, et c'est plus ou moins la répartition des intervenants et des participants".